Petite fille de ce grand directeur, beaucoup pensent que je suis une sorcière hors pair, mais dire que je suis douée en magie serait une erreur.La sorcellerie et moi ca fait deux. Tous mes professeurs pourraient le dire, je suis un vrai zero en magie. Explosion en tout genre, invocation ratée... en bref je ne réussis rien. Heureusement pour moi j'ai un caractère très agréable et je me fais régulièrement des amis. Je me demande comment il se fait que je ne n'ai pas attéri chez les piafs. Enfin bref, des premières au septième,tout le monde se moque de moi, il faut d'ailleurs un grand courage pour tout supporter, ça doit être pour cela.


Enfin bref, on m'appelle Druscilla la zéro, je déteste ce surnom donné par les bleus et verts, enfin particulièrement par les verts, ses sales chiens, je vais m'occuper d'eux un de ces jours, enfin si j'arrive à me servir de ma baguette. Il y a cependant une matière ou je suis plus douée, les potions, et bien oui la aucun besoin de magie n'est ce pas? Alors je me concentre sur cette matière,au moins la je ne suis pas trop naze, et puis il faut dire que le professeur est un véritable canon!

« La mangeuse d’hommes », c’est comme ça que la plupart de l’école m’appelle. C’est vrai que j’en ai vu passer des beaux garçons, tout plus fous de moi les uns que les autres. Ce qui m’a valu pas mal de jalousie de la part de mes camarades féminines. Mais après tout elles peuvent m’en vouloir, je me contrefiche de leurs avis. Tant que j’ai mes véritables amis près de moi, le reste m’importe peu. Et bien oui voyons, je ne passe pas ma vie auprès de mes conquêtes. Même que mes amis disent de moi que je suis très drôle et que je n’ai aucun rival en matière d’organisation de soirées. Et oui, les rouges aiment faire la fêtes, ça je vous l’assure. Enfin, depuis que l’autre rabat-joie est venue s’installer, nos fêtes se font moins fréquentes, et surtout plus secrètes. Mais cela rajoute du piment n’est-ce pas ?


De toute manière, Ombrage n’est pas mon principal problème pour le moment. Non, pour l’instant je suis en chasse. La chasse au malefoy plus précisément. Vous n’avez toujours pas trouvé ? Je veux que Janus Drago Malefoy tombe dans mes filets, voilà tout. Oui, je veux qu’il s’ajoute à mon tableau de chasse déjà bien conséquent. Mais ce goujat résiste à toutes mes tentatives. Il ne sait pas à qui il se frotte. Je vous assure que lorsque je veux quelque chose, je l’obtiens. Et Malefoy ne fera pas exception à la règle ....

« Je m'appelle Campbells, je pourrais vous dire que j'ai eu une vie de merlin, que j'ai été battue, que je suis orpheline affligée d'une tare, mais rien de tout ça. Je suis née dans le londres moldus, j'y ai passé mon enfance dans une famille aimante avec deux petits frères jumeaux qui sont aussi facétieux que les frères weasley si bien connus à Poudlard. J'ai appris avec stupéfaction que j'étais une sorcière. Maman l'a très mal pris et ne m'a pas regardé pendant près d'un an jusqu'à ce que sans le vouloir j'aide ses petits monstres. Elle a finit par m'accepter. Poudlard, ma deuxième maison on ne peut pas dire que je sois une super douée en tout mais je me débrouille. Je joue au quidditch de temps en temps et je fais partie du club de duel et j'avoue me débrouiller plutot pas mal.

Du courage ? Bien sûr que j'en ai. Il faut du courage pour porter les chaussures derniers cris à la mode de paris qui vous étouffe les pieds, comme il faut du courage pour attendre une demi heure pour que mon vernis rose poudré soit sec, il faut du courage pour passer une heure devant le miroir et tout ça pour être canon. Et pourtant je le suis. Sophistiquée, à la dernière mode j'accorde une importance sans borne à l'apparence. Ma descendance y est aussi sûrement pour quelque chose si je me retrouve chez les Gryffondors, mais ça me convient : le rouge me va bien au teint. J'aime prendre soin de moi, mais aussi des autres : en effet, mes amies sont mes « cobayes » élixirs de beautés, sortilège de poudre aux yeux, shampoing à la bave de grenouille et pinceaux en plume d'hippogriffe, rien n'est trop beau pour se faire belle et j'ai crée à Poudlard une vraie petite ligne de cosmétiques magiques que je me suis appliquée à fabriquer moi même. On me dit parfois que je suis trop jeune pour accorder autant d'importance à l'apparence, mais tu apprendra mon chou, que quand on trouve sa vocation on se doit de la suivre, et ce même à 13 ans. Si quelqu'un a besoin d'un conseil de beauté à Poudlard, je serais la première à le lui apporter.


Mon nom? Ysalde Potter, descendante de la prestigieuse famille potter et accessoirement la cadette d'un certain Mercurio Potter qui me fait honte quand il s'accoquine à quelqu'un d'autre que Malefoy. En effet, ce blondinet à tout d'une fashion victim, aaaah c'est mon modèle masculin. Amoureuse? Que nenni mes petits, je suis fan de sa classe naturelle et de son style inné. C'est en le voyant une première fois à la gare King Cross que je me suis dit qu'il faudrait que j'améliore mon propre style déjà bien plus avancé que celui des jeunes filles de mon âge jouant encore à la poupée, non mais à dix ans, je vous jure. en bref, Mercurio peut-être un symbole de classe dès qu'il côtoie autre chose que les deux ou trois crétins boutonneux et mal peigné qui le suivent sans arrêt. Il faut absolument que je leur vienne en aide à ces trois là, c'est impossible que moi Ysalde je ne puisse pas transformer ces larves en papillon un tant soit peu présentable

«Je suis une geek, je l'avoue j'adore l'informatique, les gadgets et les nouvelles technologies.Autant dire qu'à Poudlard, mon monde est réduit à ce niveau là, heureusement pour moi niveau technologie je suis un génie , je l'avoue et modifier magiquement l'appareillage moldu est devenu une passion pour moi, très lucrative aussi, car beaucoup d'enfants de moldus me demandent des transformations en secret moyennant une petite rétribution. Ysalde trouve que je devrai demander plus, histoire de pouvoir renouveller ma garde robe dit-elle.. Sa dernière lubie? m'acheter une robe, tiens tiens quelle idée hein, ma salopette me convient très bien, mais bon si je veux couper à l'interminable discours, il vaut mieux que je lui fasse plaisir